En s’engageant à consacrer leur vie au service de celle des autres, gendarmes, militaires, pompiers connaissent des risques physiques. Mais qu’en est-il des blessures de l’âme ? Celles nées du traumatisme d’une intervention plus marquante que les autres, qui surgissent sans prévenir telle une bombe à retardement, et bouleversent les relations personnelles et professionnelles.